Oups… Voici que je me mets à trier mes anciens articles après mon retour de vacances, et que je tombe sur celui-ci, resté bien malheureusement dans mes brouillons. Je vous le transmets tel quel, j’y ajouterai les photos ultérieurement…
Retour des Imaginales 2018
À la pêche aux livres-livres-livres
Je veux y r’tourner maman !
Les gens d’Epinal-nal-nal
Ont rempli mon panier maman…
Chanson de guerre d’Acherontia Nyx partie à la chasse
Et voilà. Une nouvelle fois, c’est caisse.
Oh, notez bien que j’ai été très sage pour cette édition ! Je n’ai emporté avec moi qu’une caisse de livres à dédicacer ! Oui, bon, une grande caisse de déménagement pleine à craquer, c’est vrai, mais elle était toute seule… pour l’aller, du moins.
Après, c’est étrange comme ces petites choses se reproduisent quand on a le dos tourné, et lorsqu’elles sont à la fraîcheur du coffre de la voiture. Pour le retour, ma caisse avait fait des petits. Ou plutôt, un petit sac en tissu estampillé Imaginales, lui aussi plein à craquer.
Je vous raconte…
Samedi 26 mai 2018
6h45, à la maison
Heureusement que nous avions laissé les enfants chez leur mamy hier soir, et préparé un minimum de bagages (ladite caisse, notamment). Car sans cela, nous ne serions peut-être jamais partis !
La veille au soir, je pestais intérieurement contre l’Amoureux parce qu’il refusait catégoriquement de partir à 7h, et donc de se lever en conséquent. Le lendemain matin…
– L’Amoureux : « Mon amour… Il est 6h45, faut qu’on s’lève… »
– Moi : « Hmmm grmpf mrflll… »
7h15, à la maison
L’Amoureux se prépare tandis que je lui cuisine un petit déjeuner de roi, avec des œufs sur le plat. Après tout, c’est lui qui, en bon chevalier du bitume, va se taper les plus de quatre heures de route jusqu’à Épinal.
7h45, à la maison
Là, c’est moi qui en profite pour aller faire un brin de toilette, faire un beau maquillage, mettre de jolis habits… Ah, mais flûte ! J’ai oublié de mettre le sèche-cheveux dans mon sac ! Bon, exit le maquillage, on fera ça dans la voiture comme faire se peut.
Mais, mais, MAIS ! J’allais oublier de vérifier si le chargeur de l’appareil photo est bien chargé. Et de prendre le chargeur. Et de le mettre dans son étui. Et de vérifier la carte SD. Et de donner à boire aux plantes. Et de sortir les cafés frappés du frigo. Et de… Bon, exit les beaux habits, ce sera pour plus tard. De toute façon, ce sera le cagnard toute la journée, autant s’alléger au maximum.
8h10, toujours à la maison
Enfin, nous prenons le large, après avoir chargé le coffre de la voiture de nos bagages et de nos précieux bouquins. L’Amoureux est un homme avisé, il ne me fait pas remarquer que, pour une qui voulait partir à 7h00, on a une heure de retard sur le programme.
8h30, aire de Sprimont
Première pause-bouffe. Dans ma précipitation, je n’ai pas eu le temps (ou pas pensé?) à me faire un déjeuner…
9h00, Autoroute de Bastogne
Des travaux, encore des travaux… Ça n’en finit plus ! Trois tronçons touchés par cette maladie, TROIS ! De 18 kilomètres de long, À CHAQUE FOIS ! L’Amoureux pète des cases en silence. Moi, je me dis qu’il ne sert à rien d’être deux pour jouer à ce jeu-là. Je rêvasse à mes prochaines dédicaces.
11h, Épinal
Nous arrivons enfin sur le site, après un trajet qui n’en finissait plus. L’Amoureux trouve une place de parking inopinément, se gare à l’arrache, et peut enfin souffler. Le trajet d’une traite, ça le connaît peut-être, mais ce n’est pas une machine non plus ! On s’hydrate, on décompresse, on se prépare mentalement à affrontement le monde et la chaleur. Je sors enfin, des plis plein la jupe et des crampes dans les jambes. Je troque mes clapettes contre mes escarpins noirs. Je ne sais pas si c’est une bonne idée, mais ça fait tout de suite plus classe.
Enfin, nous quittons cette coque grise et dure qui nous a bouilli le crâne et les cuisses tout le long du trajet ! Enfin, je retrouve le parc verdoyant des Imaginales, le public, les animations ! Je me sens à nouveau chez moi, dans mon univers. Et je me sens heureuse, le cœur léger. Car cette année, l’Amoureux m’accompagne pour la première fois. C’est grisant de pouvoir partager un événement si attendu avec sa moitié !
Première mission de notre expédition en territoire imaginalien : aller retirer de la thune. Je suis heureuse que nous n’ayons pas à parcourir des kilomètres avant de tomber sur une banque pour ce faire. Très vite, nous sommes de retour sur le campement, les escarcelles bien gonflées de monnaie sonnante et trébuchante.
Seconde mission, et non des moindres : trouver le guichet à jetons, afin de pouvoir s’en jeter l’une ou l’autre avant d’aller en visite. La mission est assez rapidement bouclée, et bientôt, nous squattons le bar près du grand kiosque. Diantre, ce que cette ambrée est bonne ! Pratiquement rien à envier à nos bières belges… Évidemment, j’admire le gobelet de cette année, que je garderai en trophée.
Notre pause bien méritée sur le petit banc à l’ombre d’un platane nous permet un chouette échange d’idées. Il se fait que l’Amoureux a croisé du regard, dans le pavillon d’accueil, un petit feuillet ressemblant à un journal steampunk. Il a donc tout naturellement pensé : « Tiens, et si nous aussi on publiait un petit journal gratuit qui parlerait des littératures de l’imaginaire? » Et du coup, nous avons digressé à ce sujet tout au long des Imaginales, imaginant déjà les sponsors, les blogueurs et auteurs invités entre nos pages, le roman feuilleton que je pourrais y publier, les illustrations que l’on pourrait y mettre, les lieux de diffusion, et ainsi de suite. Je pense que cela se fera dans un futur plus ou moins proche. Affaire à suivre…
13h, La bulle du livre
Premier lieu de visite obligé, la bulle du livre nous tend les bras… ou plutôt ce sont des vagues de chaleur qui nous « accueillent » en s’échappant tant bien que mal par les deux issues de la grande tonnelle. Parce que la bulle du livre reste égale à elle-même d’année en année. Peut-être devrait-on même l’appeler le sauna du livre, d’ailleurs. À l’intérieur, tout est cuit vapeur. On y croise des brochettes d’auteurs cuits à cœur, des cosplayeurs en papillote, des lecteurs trop cuits mijotés aux petits oignons, des éditeurs qui arrivent doucement au point d’ébullition… Et en garniture, les légum… euh, les livres, qui eux ne semblent pas (trop) souffrir de cette infernale chaleur. Ça fourmille dans tous les sens, ça sent la bête comme dans une salle de lecture bondée en plein été (déformation professionnelle, désolée…), ça carbure à l’eau de source ou à la bière (on comprend mieux l’odeur bestiale…), ça s’évente à tout va avec ce qu’on trouve sous la main – et cela va de l’éventail fait main à partir d’un vieux flyer à la tranche de jambon tirée du sandwich juste pour l’occasion (j’exagère, moi? Mais non!). La plupart de ce beau monde m’envie mon éventail ajouré tout droit ramené du japon. Bah oui, c’est que, à force de venir, on commence à connaître les bonnes astuces!
À l’entrée, je croise Manon Elisabeth d’Ombremont, que je salue au passage. Il faudra vraiment que je me penche sur ses sagas en rentrant à la maison! Puis nous faisons le tour de la bulle pour un premier tour de repérage. On croise tout un tas de maisons d’édition très sympas, et on se dit qu’il y a vraiment beaucoup trop de choses à voir en un weekend. Moi, je compte déjà mon budget, et pointe tout ce qui me fait de l’œil pour voir si c’est jouable. Puis je tombe sur un monsieur très sympathique, qui me fait une promo de dingue autour de son livre « Comment écrire son roman de fantasy ». Il me parle aussi d’un concours de novellas annuel qui a lieu en bord de Méditerranée, et là je me dis : « Pourquoi pas? ». Après tout, j’ai quelques histoires très chouettes dans un coin de ma tête, qu’il ne me reste « plus qu’à » écrire. Alors, je lui achète son livre, et je prends son flyer. Advienne que pourra!
14h, Magic Idolize
Première conférence du weekend, celle animée par Anne Besson concernant les récits de fantasy et le choix du style picaresque. Un sujet intéressant, et des intervenants au poil, même s’ils ne décrivent pas nécessairement leurs romans en termes de « picaresque »… J’ai particulièrement apprécié les interventions de Jean-Philippe Jaworski, qui a beaucoup parlé de son personnage Benvenuto (un de mes personnages préférés de l’auteur, au passage).
À la sortie du lieu de conférence, je tombe sur Anthelme Hauchecorne, qui s’apprête à aller au front pour digresser autour de l’anthologie de cette nouvelle édition des Imaginales. À mon grand étonnement, il m’offre son exemplaire de l’anthologie, pour l’avoir aidé sur une bêta-lecture ardue (ndlr : le prochain roman à paraître, dont je ne connais pas encore le titre). Mes yeux ont dû ressembler à ceux de Galadriel quand Frodon lui tend l’Anneau de pouvoir. Hein? Quoi? Comment? Vous m’offrez librement l’Anneau? Euh… l’anthologie? Bien sûr, je ne rouspète pas et embarque le tome avec joie (merci encore, au passage!).
15h, Bar à bières du parc
Je rejoins l’Amoureux qui s’en était allé à une autre conférence sur les sorciers, la sorcellerie, tout ça tout ça. On se jette une ou deux autres ambrées. C’est pas tout ça, mais avec le soleil qui cogne bien comme il faut, on n’a pas le choix que de s’hydrater un maximum!
15h15, La bulle du livre
Bon, ce n’est pas tout ça, mais nous avons des auteurs à rencontrer et des romans à faire dédicacer! Je me sens au bord de l’apoplexie lorsque nous pénétrons à nouveau dans la bulle du livre, mais ce n’est pas dû qu’à la chaleur infernale qui nous tabasse d’entrée de jeu. C’est surtout que je suis totalement surexcitée à l’idée de rencontrer toute une foule d’auteurs et de faire mes emplettes littéraires! L’Amoureux, lui, n’en a cure. Je crois qu’il n’est pas très branché dédicaces, si ce n’est celles de Sire Cédric ou Maxime Chattam. C’est donc d’un air très détaché qu’il entame ce marathon de dédicaces. Au moins accepte-t-il de m’épauler dans la gestion de ma nouvelle PAL naissante, ce n’est pas rien! Entre les sacs en papiers qui se multiplient et le chapeau haut-de-forme qui se met à faire office de panier, on n’est pas trop de quatre mains!
Le problème pour moi, c’est qu’il y a trop de monde, trop d’auteurs, trop de file… et que je me sens rapidement perdue! Où vais-je? Qui veux-je voir? Où me rendre en premier? Où sont les auteurs de l’anthologie que je souhaite faire signer? Bon, autant vous le dire tout de suite, c’était tellement la cohue que j’ai remis bon nombre de dédicaces au lendemain. Mon anthologie n’a donc été signée que trois fois, c’est un peu un regret de ma part car les auteurs étaient tous là, et je ne les reverrai peut-être pas de sitôt. Mais bon, on fait ce qu’on peut, et non ce qu’on veut…
Je fait directement une croix sur une dédicace de Robin Hobb ou de Jaworski! La file est bien trop longue pour notre endurance physique à la chaleur et à la position debout. Ceci étant, j’ai eu le plaisir de croiser Robin Hobb… au petit coin! Elle m’a eu l’air d’être une femme charmante.
Résultat des courses : je me sens tellement perdue que – excusez moi de vous décevoir – je vogue au petit bonheur la chance pour trouver un auteur qui est momentanément seul. Pas de file, tout bénéf’. Je jette mon dévolu sur Patrick Moran, dont le roman La crécerelle a fait forte impression sur les blogs littéraires. Il me raconte brièvement l’histoire de son roman, avec laquelle j’accroche bien entendu. Et hop, premier livre dans mon escarcelle!
J’attends un petit moment dans la file pour Patrick McSpare, mais la demoiselle prend tellement de temps, et il fait tellement chaud, que je décide d’abréger mes souffrances et celles de l’Amoureux. Pas de Monsieur McSpare pour cette fois, donc…
En attendant patiemment Pierre Pevel, qui était déjà à son stand mais qui avait décrété que les dédicaces ne commenceraient pas avant l’heure prévue, je commence ma tournée « dédicace de l’anthologie » avec Anthelme Hauchecorne, justement. Puis je continue avec Jean-Laurent del Socorro dont j’ai déjà les deux romans Royaume de vent et de colères ainsi que Boudicca.
Lorsque Monsieur Pevel fait mine d’être libre, on se rue sur son stand avec l’Amoureux. Nous avions tous les deux adoré le Paris des merveilles et tenions à avoir le premier tome dédicacé. Bien sûr, tant que nous y sommes, nous en profitons pour prendre d’autres romans écrits de sa plume. Je jette mon dévolu sur l’intégrale spécial 10e anniversaire des Lames du cardinal, tandis que l’Amoureux choisit l’intégrale de la Trilogie de Wielstadt.
Je termine mon incursion dans la bulle du livre par une séance de dédicace auprès de Marie Brennan, dont j’avais beaucoup aimé le diptyque Les deux sœurs. J’en fais donc dédicacer les deux tomes, et j’en profite pour prendre les quatre tomes de sa série Les mémoires de Lady Trent.
Et voilà, budget atteint pour ma part (déjà…)! Et quoi qu’il en soit, j’ai le front baigné de sueur et les pieds en compote. Il est plus que temps de faire une nouvelle pause! Et accessoirement, de passer à la voiture pour changer de chaussures… Pas de chance pour moi, mes cloches aux pieds sont si monumentales qu’il m’est plus agréable de marcher pieds nus dans les gravillons jusqu’à la voiture, que de terminer le trajet en talons! Ah, les tongs, quel bienfait!
18h, Parc des Imaginales
Il serait peut-être temps de songer à… dîner! Avec tout ce remue-ménage, nous n’avons même pas senti nos estomacs qui criaient famine! Un rapide crochet vers la bulle du livre nous donne l’occasion de nous procurer les sandwichs que notre corps réclame à grands grondements de poche stomacale vide. Le bord de la rivière accueille nos deux séants, et c’est dans la lumière déclinante de la fin d’après-midi que nous dégustons notre pitance, déglutie à l’aide de notre chère amie l’ambrée. Faut bien faire honneur à notre réputation de belges picoleurs!
Un dernier tour auprès des animations disséminées partout dans le parc, et nous voici repartis! Direction l’hôtel…
20h, Remiremont
Une bonne douche bienfaisante plus tard, nous terminons cette merveilleuse journée autour d’un pichet de pinot noir et d’une salade de melons. Malgré mon amusement et ma belle récolte littéraire, je reste sur quelques regrets : celui de ne pas avoir pu faire plus de dédicaces, et de ne pas avoir pu voir plus de conférences. Une seule sur la journée, cela me change de l’édition faite il y a deux ans où je les enchaînais!
Dimanche 27 mai 2018
8h30, Remiremont
Nous nous enfilons un super petit déjeuner, avec beaucoup de fruits bios, un croissant, du jus de fruits, du thé, et tout ce qu’il faut pour tenir le choc de cette seconde et dernière journée. Tandis que l’Amoureux termine son repas, je profite de l’accueil réservé par le chat roux de la maison qui, vautré sur un canapé, se tortille en tous sens pour avoir sa dose de câlins. Je ne me suis pas faite prier…
10h30, Parc des Imaginales
Le soleil n’est pas autant au rendez-vous que la veille, et c’est tant mieux! Il fait légèrement plus frais, même si les nuages sont plus nombreux. Nous commençons la journée par une très belle conférence sur les fées. Je ne pense pas que l’on pourra en trouver une retransmission sur le site d’ActuSF car elle se passait dans le temple maçonnique, un lieu emprunt d’une aura mystique très particulière et très forte, où l’on sent la convergence de courants aussi bien spirituels qu’intellectuels. J’ai aimé autant les interventions d’Hélène Larbaigt que celles de Georges Bertin. Derrière les propos d’Hélène Larbaigt, l’on sentait toute son expérience et ses connaissances en matière de littérature ancienne et d’histoire médiévale. Elle nous a notamment parlé de la représentation des fées dans l’imaginaire médiévale, de sa symbolique d’un point de vue féminin. Quant à Georges Bertin, il nous a beaucoup parlé des récits folkloriques que lui contait sa grand-mère lors de leurs balades champêtres, de la figure de Mélusine et de la représentation des fées dans le cycle arthurien (dont il est un spécialiste).
12h, Bar à bières du parc
C’est le grand retour de notre petite ambrée préférée! Enfin, moi, j’opte plutôt pour un coca lorrain, parce que je sens bien qu’au moindre écart, mon estomac va m’envoyer sur les roses. Aujourd’hui, nous décidons de nous la jouer cool. Au programme : trouver des souvenirs à ramener aux enfants, et surtout, profiter au maximum de l’ambiance!
12h30, Espace BD
Nous commençons par l’espace BD, que nous avons survolé hier en trop grande vitesse. Il y a là des artistes de talents. Pas de John Howe, malheureusement, car il est reparti tout de suite après sa conférence du matin. Pas de bol pour moi, qui me réjouissais tant de le voir!
Puis nous sommes tombés en pâmoison devant le stand de Lodgraph, alias Elodie Dumoulin, illustratrice de l’imaginaire depuis une douzaine d’années. Bien sûr, nous ne résistons pas au charme de ses œuvres et faisons acquisition de trois fac-simile pour décorer la maison.
Sur le stand d’à côté, c’est l’illustratrice … qui propose ses œuvres sous toutes les formes possibles et imaginables. Nous y faisons l’acquisition d’un livre de coloriage pour la benjamine de la maisonnée, qui adore jouer du crayon de couleur.
13h, Bulle du livre
Nous partons en chasse de deux livres jeunesse, un pour chaque jumeau formant le duo de tête de nos trois poussins. Pas facile de dénicher la perle rare. Souvent, on nous propose des lectures d’après leur âge, mais celles-ci sont trop simples pour leur niveau de lecture. Et quand nous trouvons des livres d’un bon niveau, les thèmes n’étaient pas susceptibles de les intéresser. Finalement, nous dégotons le tome 1 du cycle d’Ekisse d’Ariane Bricard pour la grande, et un livre steampunk uchronique pour le grand.
14h, Parc des Imaginales
Contents de nos achats, nous flânons une dernière fois dans le parc avant de reprendre la route vers notre Belgique natale. Nous nous arrêtons sur un banc ombragé pour déguster notre second sandwich du weekend. Quelle belle idée ce fut, car très vite, nous sommes interpellés par une dame tout à fait charmante qui distribuait… des grosses parts de gâteau au chocolat! Vous imaginez bien que nous n’avons pas refusé une si gentille proposition!
C’est donc l’estomac bien rempli de bonnes choses, et le coffre débordant de livres, que nous rempilons pour quatre heures de trajet en direction de notre mère patrie.
Que de bons souvenirs, c’était également la première édition de l’amoureux et il a adoré donc normalement il m’accompagnera désormais tous les ans ^^
D’ailleurs c’est Manon qui m’a parlé de ton blog elle nous confondait toutes les deux ^^
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